Souvent, lors d'un départ en vacances, la question de prendre une assistance nous vient à l'esprit !
Mais est-ce d'une assistance ou d'une assurance dont nous avons besoin ?
De nombreux choix s'offrent à vous ! Lesquels choisir ?
Souvent, lors d'un départ en vacances, la question de prendre une assistance nous vient à l'esprit !
Mais est-ce d'une assistance ou d'une assurance dont nous avons besoin ?
De nombreux choix s'offrent à vous ! Lesquels choisir ?
Parce que la pension légale ne suffira pas, nous sommes encouragés à prendre des initiatives pour maintenir notre niveau de vie à la retraite. De quoi s’agit-il ?
Nous le savons tous, notre espérance de vie s’allonge chaque année un peu plus. Si nous nous contentons de la pension que nous recevrons de l’Etat, nous devrons fort probablement revoir notre niveau de vie une fois notre carrière professionnelle terminée. S’y préparer au mieux permet dès lors d’éviter les regrets à l’âge de la retraite. Qui plus est, certaines solutions proposées sont assorties d’un avantage fiscal. Ces solutions d’épargne, ensemble avec la pension légale versée par l’Etat, forment ce que l’on appelle les 4 ‘piliers de la pension’.
L'épargne-pension individuelle reste le moyen le plus populaire et le plus attrayant d'épargner pour ses vieux jours. Voici cinq conseils en or pour la maximiser.
« Les temps changent », tel est le nom de la campagne médiatique de « Votre Courtier, Votre meilleure Assurance ». Un slogan que vous avez certainement vu à la télévision et sur les réseaux sociaux ou entendu à la radio. Un slogan dont l'objectif est d’insister sur le fait que les « assurances » aussi évoluent en raison de l'apparition de nouveaux risques. Il est donc judicieux, en particulier pour une entreprise, de procéder régulièrement à un check-up pour s'assurer contre les nouveaux risques.
« L’héritage est un sujet tabou pour la plupart d’entre nous », déclarait récemment au Laatste Nieuws un gestionnaire de patrimoine. « Et les jeunes ne voient pas non plus l'utilité d’en parler. Pourtant, il est utile de se demander qui hériterait de quoi si vous veniez à décéder, et quel montant serait dû en droits de succession. Ne serait-ce que pour savoir où se cachent d’éventuels problèmes. Ainsi, les cohabitants non mariés pensent souvent que leur partenaire bénéficie de la même protection qu'un partenaire marié, mais, à moins de rédiger un testament, ce n'est pas le cas. »
Les droits de succession doivent en principe être réglés dans les six mois suivant le décès, ce qui désavantage beaucoup d’héritiers. Une assurance succession peut apporter une solution aux personnes qui héritent d’un bien immobilier, par exemple, et qui ne veulent pas ou ne peuvent pas payer les droits de succession elles-mêmes.